

Si en France on ne meurt qu'exceptionnellement des complications aigües du diabète (coma), en revanche, on peut mourir des complications chroniques du diabète ou subir de graves traumatismes (cécité, amputations...)
Sur 3 300 000 diabétiques recensés (on estime qu'il y a aussi 700 000 diabétiques non diagnostiqués, soit un total de 4 000 000 de diabétiques),
30 000 décès par an, 87 000 personnes diabétiques ont perdu la vue d'un œil (entre 2007 et 2010), 8 000 personnes par an ont été amputées d'un membre inférieur...le diabète est une maladie grave.
10 % des dépenses nationales de santé sont imputable au poids du traitement et de ses complications, 18 milliards dépensés pour les personnes atteintes de diabète et 1 milliard de dépenses supplémentaires chaque année pour l'assurance maladie.
Trois objectifs
• Alerter les personnes atteintes du diabète et en premier lieu les diabétiques de type 2 sur la réalité des complications.
• Informer sur les pratiques et comportements pour les éviter ou pour les retarder
• Sensibiliser les médecins généralistes à l'importance de la prise en compte de la qualité de vie de leurs patients.
Une démarche innovante en matière de prévention des risques
La vie est complexe, contradictoire, mouvante et changeante. Le diabète, c'est tous les jours, toute la vie.
Pour l'AFD, il ne saurait y avoir un modèle comportemental idéal. Donc, ses membres n'ont pas à le prescrire, ni à le dicter. La communication s'inscrit dans la réalité. Une réalité toujours relative, contradictoire et imparfaite.

L'objectif de ce projet est d'initier un groupe de jeunes (11 jeunes de 11 à 17 ans) à la photographie à l'occasion d'un « stage photo » de 3 jours(11, 12 et 13 mars 2014). L'intérêt premier de ce stage était d'utiliser les nouvelles technologies d'un point de vue artistique, afin de les sensibiliser au patrimoine. Par le biais de cette initiation, on a permis aux adolescents de découvrir ou de redécouvrir leur territoire et leur patrimoine. Il s'agit de leur montrer la diversité des richesses patrimoniales du Pays de l'AIGLE ET DE LA MARCHE.

Cette soirée qui s'est déroulée au Pôle d'Animation Sociale de la Madeleine a réuni une trentaine de personnes. Le but de cette soirée était de se réunir autour de 3 pièces de théâtre interprétées par la troupe de Crulai et orchestrée par Madame Anfray.
Ces trois pièces s'intitulaient :
« A coup de balais », de Joanny Girard, jouée par 4 enfants de 10 à 14 ans. Durée : 15 minutes.
« Ah ces cancres - là ! », de Francis Poulet et Jean des Marchenelles jouée par 4 adolescents
de 13 à 17 ans. Durée : 20 minutes.
« Ma douce Colombe », de J.Thareau, jouée par 4 adultes. Durée : 45 minutes.
Parents et enfants ont pu profiter et se détendre devant ces 3 pièces remplies d'humour. De leur côté, les comédiens récitaient leur texte dans un autre contexte qu'une salle de spectacle. En effet public et comédiens étaient à proximité et pouvait partriciper autant à la représentation qu'aux coulisses.
Pour finir, l'assistance a pu exprimer son enthousiasme à la troupe par ses applaudissements. Une initiative à revivre, soyons-en sûrs !
Jour de fête en cette fin de mois de janvier : François CARBONELL, Vice-président du CIAS, a présenté ses vœux aux résidents du foyer logement des Sapinettes mercredi 29 janvier. Cet après-midi festif s'est passé dans la bonne humeur et autour de la traditionnelle galette. Il est vrai que cette année de nombreuses animations ont été proposées et en particulier la possibilité, le mardi, d'aller au marché de L'Aigle grâce aux véhicules du CIAS. C'est encore une manière d'intégrer un peu plus le quotidien des résidents des Sapinettes dans la vie du territoire.
Enfin, ce fut l'occasion de présenter les projets 2014, dont les travaux de réhabilitation du foyer logement et la mise en place d'animations, d'ateliers et de sorties en lien avec le Pôle Animation Sociale, et de rappeler aux résidents qu'ils comptent parmi les acteurs principaux du Pôle Personnes Agées et Handicapées du CIAS. Plus d'infos sur la résidence au 02 33 84 17 77
Le premier Contrat Local de Santé (CLS) de Basse-Normandie a été signé, mercredi 30 octobre 2013 par l'Agence Régionale de Santé (ARS) de Basse Normandie, représentée par son Directeur général, Pierre-Jean Lancry et le Centre Intercommunal d'Action Sociale (CIAS) des Pays de L'Aigle et de La Marche, représenté par son Vice-président, François Carbonell.
Le CLS : fédérer les acteurs et améliorer la santé de la population sur un territoire donné
Outil de déclinaison du Projet Régional de Santé dans les territoires, le CLS contribue à la réduction des inégalités sociales et territoriales de santé. Il a pour ambition d'améliorer la santé et les conditions de vie de tous sur un territoire de proximité et de faciliter une meilleure coordination entre les acteurs locaux dans une démarche innovante et structurante.
Le CLS des Pays de L'Aigle et de La Marche
Il décline 2 priorités de santé sur le territoire aiglon :
• l'accès à la santé des enfants et notamment des populations fragilisées (10 fiches actions)
• le mal-être et les troubles psychosociaux des jeunes – les conduites addictives (6 fiches actions).
Les premières actions débuteront ainsi dès janvier 2014.
Douze structures partenaires ont signé également le CLS : la Préfecture de l'Orne, la Conférence de territoire de l'Orne, le Conseil Général de l'Orne, la ville de L'Aigle, le Centre Hospitalier de L'Aigle, le Centre Psychothérapique de l'Orne (CPO), l'Association Régionale des Organismes de Mutualité Sociale Agricole (AROMSA), la Caisse Primaire d'Assurance Maladie (CPAM) de l'Orne, la Mutualité Française Normandie, la Mission locale de L'Aigle-Mortagne-au-Perche, l'association Action Médico- Sociale Précoce Polyvalente de l'Orne (AMSPPO) et l'Association Locale des Professions de Santé (ALPS).
Plus de CLS pour moins d'inégalités sur le territoire bas-normand
L'ARS s'engage fortement dans l'élaboration de ces contrats avec les collectivités qui y sont favorables. L'objectif de l'Agence est de consolider les partenariats locaux et d'inscrire cette démarche dans la durée pour lutter contre les inégalités locales de santé. Par exemple, un CLS est en cours de finalisation avec la Communauté Urbaine de Cherbourg, signature prévue en décembre 2013. La première rencontre de la santé à Caen, le 26 septembre dernier a lancé les travaux du projet de CLS avec la Ville de Caen.

Le lundi 7 octobre 2013, Pascal Dangeul , Directeur de La Poste de L'Aigle et François Carbonell , Vice-Président du CIAS de L'Aigle, en présence de Claude Martin , Sous-Préfet de Mortagne-au-Perche et Gilles Havard , Délégué aux relations territoriales de l'Orne, ont signé une convention de partenariat en faveur de l'accompagnement des clientèles vulnérables.
Les clientèles vulnérables ont des attentes et des comportements spécifiques avec des opérations souvent plus longues et un manque d'autonomie qui nécessite une écoute, un esprit de service et de la pédagogie pour les accompagner.
Elles doivent bénéficier de la dynamique d'innovation, de croissance et de progrès de La Poste. La Poste souhaite rendre l'accès à ses services simple et facile pour tous . Cela requiert du temps, des ressources, des qualités humaines et de l'expertise. C'est pourquoi La Poste travaille en lien avec des partenaires associatifs, institutionnels et d'autres entreprises qui apportent leurs connaissances, leurs soutiens et leurs réseaux.
L'objectif de cette convention de partenariat est de mieux accueillir les publics dans toute leur diversité et de développer, à leur égard, une offre de services adaptée avec un accompagnement personnalisé.
Le CIAS de L'Aigle va intervenir deux jours en début de chaque mois de 9h à12h dans la salle du public du bureau de poste de L'Aigle et accompagne les personnes en difficulté pour remplir des imprimés, utiliser les automates,....
Dans le cadre du contrat de présence postale territoriale 2011-2013 , signé entre La Poste, l'Etat et l'Association des Maires de France (AMF), il est déterminé un fonds de péréquation dont les ressources sont affectées au bénéfice des zones prioritaires : les communes rurales, les communes en DOM et les quartiers en Zone Urbaine Sensible (ZUS). A cet effet, la Commission Départementale de Présence Postale Territoriale (CDPPT) de l'Orne dispose d'un budget identifié à un programme Zone Urbaine Sensible.
C'est ce lundi matin, 7 octobre 2013, que Quentin MONTEIRO, 17 ans, a signé son contrat d'apprentissage à la Maison de la Petite Enfance.
L'apprentissage a pour but de donner à des jeunes travailleurs ayant satisfait à l'obligation scolaire une formation générale, théorique et pratique, en vue de l'obtention d'une qualification professionnelle sanctionnée par un diplôme de l'enseignement professionnel ou technologique, un titre d'ingénieur ou un titre répertorié. Tout jeune âgé de 16 à 25 ans peut entrer en apprentissage. Des dérogations à ces limites d'âge sont possibles.

Vivre dans le territoire...